Nos actions

Accessibilité au spectacle vivant

« À spectacle vivant, description vivante » (Séverine Skierski).
Les Yeux Dits défend l’idée d’une description travaillée en amont du spectacle ou de la création et donnée à entendre en direct afin d’être au plus juste de la particularité de chaque représentation.

Photo horizontale en couleur de Pierre Grosbois pour le spectacle : « Dormir 100 ans » de Pauline Bureau. Dans une forêt, la nuit, une jeune fille en jupe, sweat et basket jette un œil par-dessus son épaule vers un immense tigre blanc assis comme un sphynx.

Photo horizontale en couleur de Pierre Grosbois pour le spectacle : « Dormir 100 ans » de Pauline Bureau. Sur un canapé, un adolescent aux cheveux ébouriffé lit un livre sur les grenouilles à côté d’un autre personnage en baskets, gant et collant vert, les yeux masqués de vert, une petite couronne sur la tête.

Photo horizontale en couleur de Pascal Victor pour le spectacle : « La traviata, vous méritez un avenir meilleur » de Benjamin Lazar, Florent Hubert et Judith Chemla. Dans la pénombre, une femme en robe de soirée verte cherche son souffle, prisonnière d’un immense voile de tulle blanc qu’elle tente d’éloigner en écartant les bras. — TRAVIATA, d’apres La Traviata de Giuseppe Verdi, mise en scene de Benjamin Lazar, arrangements et direction musicale Florent Hubert et Paul Escobar au theatre des Bouffes du Nord du 17 septembre au 15 octobre 2016. Avec Judith Chemla (photo by Pascal Victor/ArtComArt)

Photo horizontale en couleur de Christophe Raynaud pour le spectacle : « Le dictateur et le dictaphone » de Alexandre Haslé. Assis dans un canapé, un homme chauve au regard inquiétant, brandit la tête voilée d’une femme au visage de papier mâché. — Le dictateur et le dictaphone – Alexandre Haslé, Cie Les lendemains de la veille. ©Christophe Raynaud

Photo horizontale en couleur de Nicolas Petisoff pour le spectacle : « La révérence » de Hala Goshn Dans une lumière aquatique bleue et verte, deux silhouettes avancent, les mains levées, doigts écartés, un masque à hublot et petit projecteur sur la tête. — La révérence – Hala Goshn, Cie La poursuite. ©Nicolas Petisoff

Photo horizontale en couleur de Gautier Boxebeld Colonna pour le spectacle : « La révérence » de Hala Goshn Sous un ciel de pleine lune, la forme fantômatique d’un bâteau bleu et turquoise ondule sur un rideau transparent. — La révérence – Hala Goshn, Cie La poursuite. ©Gautier Boxebeld Colonna

Photo couleur horizontale du spectacle : « La révérence » de Hala Goshn. Quatre personnages sont plongés dans le noir et s’éclairent par en dessous à la lumière de leur portable. L’un d’eux, éclairé de blanc, porte un marcel noir et une casquette de capitaine. Les trois autres sont groupés derrière lui, nimbés d’une lumière jaune. Leurs visages spectraux sont creusés d’ombres. — La révérence – Hala Goshn, Cie La poursuite. ©Gautier Boxebeld Colonna

Photo horizontale en couleur de Chris Van Der Burgt pour le spectacle « Requiem pour L » de de Fabrizio Cassol et Alain Platel. Cinq hommes noirs en costume sombre jouent, chantent et dansent en cercle. Guitares électriques, silhouettes de dos ou de profil, bouche grande ouverte, mains levées au ciel, un seul visage apparaît en entier, et crée le point de repos de l’image. — Requiem pour L – Fabrizio Cassol, Alain Platel, les Ballets C de la B. ©Chris Van Der Burght.

L’association a notamment rendu accessible :

La Traviata, vous méritez un avenir meilleur – Benjamin Lazar, Florent Hubert et Judith Chemla

Dormir 100 ans – Pauline Bureau, Cie La part des Anges

Le dictateur et le dictaphone – Alexandre Haslé, Cie Les lendemains de la veille

Requiem pour L – Fabrizio Cassol, Alain Platel, les Ballets C de la B

La révérence – Hala Goshn, Cie La poursuite

(À venir) Room – James Thierrée, La compagnie du Hanneton

Page précédente
Page suivante